Tous nos chiots Berger Allemand nous quittent accompagnés de leur carnet de santé, d’un certificat vétérinaire, d’une attestation de vente et d’un livret contenant, outre les caractéristiques de leur race, les indispensables conseils d’alimentation, de soins et d’éducation (extraits de ce site) à partir de l’âge de neuf semaines.

Identifiés par puce, primo-vaccinés, dûment déparasités, inscrits au Livre des origines françaises, aussi beaux soient-ils, ils sont destinés à la compagnie ce qui n’interdit pas la pratique d’activités sportives de loisirs mais ne les garantissent pas.

Le prix est de 1100 euros HT majoré d’une TVA à 20% soit 1320 euros TTC avant 12 semaines

Leur prix passe à 1200 euros HT majoré d’une TVA de 20% soit 1440 euros TTC après 12 semaines, âge auquel le rappel de primo-vaccination aura été effectué

Une semaine d’alimentation vous est fournie sous la forme de barquettes surgelées composant son régime alimentaire au départ de l’élevage. Si vous optez pour une alimentation de type industrielle, un sac de 2 kg de croquettes d’une marque haut de gamme sans céréales auxquelles votre chiot a été habitué à raison d’un repas sur 4 (ou 3 s’il a plus de 12 semaines) vous est fournie en remplacement des barquettes de BARF.

Il vous est possible, sur place ou par anticipation à la boutique en ligne, de faire l’acquisition de tout le matériel de base (harnais, laisse, jouets, friandises …) sachant que tous les produits et accessoires que nous proposons répondent à des impératifs d’utilité, de qualité et de respect du bien-être de votre futur compagnon.

Il vous est également possible de réserver un sac de 12 kg de croquettes de la même marque en complément du sac de 2 kg offert si vous faites le choix de ce type d’alimentation. Il suffit de nous le signaler avant de venir chercher votre chiot.

En cas de choix différent, nous déclinons toute responsabilité si des problèmes de digestion apparaissent.

Tout changement d’alimentation doit absolument faire l’objet d’une transition sur une période d’au moins 1 mois.

Comme tout éleveur – et encore plus au Val de la Petite Creuse où nous tenons à nous donner les moyens de faire du bon travail –  nous n’avons pas d’autre solution que de nous faire défrayer des soins que nous avons prodigué à votre futur compagnon.

Rien n’est gratuit, ni la nourriture (et chez nous la nourriture est un gros budget), ni les honoraires du vétérinaire qui ausculte, identifie et vaccine, ni les tests de santé effectués sur les parents de votre futur compagnon, ni les charges liées à l’aménagement et l’entretien du lieu de vie de nos animaux, ni celles liées au maintien en santé de tous nos chiens et encore moins les services de l’étalon qui aura saillie la mère de votre chiot s’il est extérieur à l’élevage.

Nous vendons certes nos chiots, mais pas comme une marchandise.

Ce que nous vendons est le produit d’un savoir-faire

Ce savoir-faire est ce qui a permis de sélectionner ses parents au mieux (sur leurs qualités de santé physique et mentale), ce qui a fait de votre chiot un animal préparé à sa future vie de chien de compagnie, socialisé, familiarisé à l’homme et à un environnement déjà riche.

Ce savoir-faire est le fruit de la pratique mais aussi de plusieurs formations ayant elles-mêmes été payantes. Il est question de temps passé et de moyens mis en oeuvre.

Pour toutes ces raisons le prix demandé ne peut être inférieur/négociable car nous ne travaillons tout simplement pas au rabais.

Si vous souhaitez en savoir plus, nous vous invitons à lire [La question du prix d’un chiot]

En tant qu’éleveur de + d’une portée par an exerçant son activité de façon transparente et légale sans dissimulation de ses produits à l’administration fiscale ou sociale (MSA) nous sommes tenus au paiement de charges, taxes et primes d’assurance qui majorent évidemment nos frais de fonctionnement. En tant qu’éleveur de + d’une portée par an, nous exerçons un vrai métier auquel nous sommes formés et nous respectons une réglementation garantissant un minimum de bientraitance envers les animaux ; ce n’est pas le cas d’un éleveur (soi-disant) occasionnel ! 

Avant de vous décider à prendre contact avec nous pour adopter l’un de nos chiots nous vous remercions de bien vouloir :

→ lire les conditions générales de cession d’un chien un document que vous serez amené à signer

→ vous prêter à notre Questionnaire d’auto évaluation des possibilités d’accueil d’un chien afin de vérifier que vous ne cochez aucune des cases de la colonne rédhibitoire. Si tel était le cas, nous sommes à votre entière disposition pour en discuter et vous aider à solutionner le problème, notamment en terme de connaissances des besoins d’un chien.

 L’élevage canin est une activité professionnelle règlementée par une législation

Depuis le 1er janvier 2016 ne sont autorisés à vendre leurs chiots que les éleveurs dûment déclarés, possédant les connaissances et compétences requises, dont l’établissement est également déclaré en Préfecture et répond aux normes sanitaires de protection animale.

Il s’agit d’un grand pas en avant dans la moralisation de cette activité honorable quand elle est exercée sérieusement et selon des pratiques respectueuses de l’animal. Le prix pratiqué est un bon indicateur de la façon dont l’activité est exercée. Certains nous apparaissent, à nous qui connaissons le coût de l’entretien des chiens et des frais liés à l’élevage, soit comme abusifs (> 1500 euros) soit au contraire comme trop bas et dans ce dernier cas nous ne pouvons que vous conseiller de demander des justificatifs.

Vendre un chiot berger allemand inscrit au LOF en dessous de 800 euros , à moins d’être rentier, ne couvre absolument pas les charges sauf bien sûr si la TVA n’est pas reversée (c’est alors 800 euros dans la poche), s’il n’y a pas d’assurance en responsabilité civile professionnelle, si on fait vivre ses chiens dans des niches ou des cages en les nourrissant aux croquettes premier prix et si on ne paie pas de charges sociales.

Les économies réalisées lors de l’achat peuvent en être effectivement mais outre le risque de mal tomber il s’agit de se demander si on veut avoir affaire à un éleveur honnête qui n’a rien à cacher et s’affiche fièrement comme professionnel ou si on préfère encourager des pratiques douteuses.