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Débuter au Barf : introduction
Isa.valcreuse 3 février 2017

Débuter au Barf nécessite avant tout de faire table rase des croyances, superstitions et autres convictions fondées sur des informations tronquées ou sur l’imaginaire.

Le Barf est une affaire de bon sens et d’évaluation des bénéfices/risques sur la santé.

 

Le régime BARF (Biologically and raw food) est l’alimentation la plus naturelle et adaptée qui soit pour un chien et à fortiori pour un berger allemand. Il se résume à 3 principes fondamentaux et très simples :

 

→ la ration journalière est égale à 3% environ du poids idéal du chien adulte (pendant la croissance le pourcentage passe de 8% à 2 mois et 4% en fin de croissance)

→ la ration journalière se compose de 45% d’os charnus de taille adaptée à la mâchoire + 45% de viandes + 10% d’abats auxquels on peut ajouter 10% de fruits et légumes mixés

→ TOUT est CRU

 

Le régime BARF est parfaitement équilibré en protéines, lipides, vitamines, minéraux, oligoéléments et fibres dès lors que ces 3 principes sont respectés. Il ne comporte pas de céréales car le chien n’a pas besoin de glucides et est un carnivore comme en atteste sa dentition, son appareil digestif et ses comportements.

 

Les seules contraintes sont :

→ dénicher des sources d’approvisionnement

→ disposer de la capacité de stockage (congélateur)

→ prendre les quelques minutes quotidiennes nécessaires à la confection des gamelles

 

compo-ration-BARF

 

Arguments en faveur du Barf ou bénéfices de ce régime alimentaire

 

Le plaisir de manger

Nourriture appétente et variée, le Barf procure au chien un réel plaisir de manger le faisant renouer avec sa nature de consommateur de viandes crues et broyeur d’os. Certains propriétaires ont un peu de mal avec cette nature, ne parvenant pas à voir leur compagnon comme un prédateur tuant et consommant ses proies. Qu’ils se rassurent. Ce qui stimule et renforce la prédation est totalement indépendant de l’aspect, de l’odeur et du goût de l’alimentation. Pour preuve les chiens de chasse nourris aux croquettes et les « barfeurs » tissant des liens affectifs avec des potentielles proies naturelles (chats, lapins …). Par contre il est indéniable qu’ils se régalent tous à manger une pièce de viande.

 

La qualité des nutriments et leur biodisponibilité

Non dénaturé par la cuisson et vérifiable (à l’inverse des croquettes dont on ne sait jamais réellement ce qui les compose), le Barf permet de contrôler intégralement le contenu de la gamelle et d’éviter qu’elle ne contienne des ingrédients sans intérêt (plumes, poils, farines), malsains (céréales) ou dangereux (certains conservateurs). En outre, parce qu’elle est crue et fraîche, la gamelle contient encore toutes les vitamines et minéraux sous leur forme naturelle et bio disponible dès lors que la source fait partie du régime alimentaire normal d’un carnivore (protéines et lipides d’origine animale).

 

La digestibilité

L’appareil digestif du chien présente plusieurs particularités comparé au nôtre ; la salive ne contient pas d’amylase permettant de pré dégrader les molécules d’amidon, ce rôle étant dévolu à l’amylase produite exclusivement par le pancréas en quantité normalement limitée (cette limite tient au fait que le seul amidon présent dans l’alimentation normale du carnivore est celui rencontré dans le contenu de l’appareil digestif de ses proies)  ; toute consommation excessive de glucides demande un effort au pancréas ; quant à la cellulose, le chien est incapable de la briser par la mastication (articulé uniquement vertical) d’où la nécessité de mixer les fruits et les légumes ; l’acidité de son estomac est proche de 1 en condition normale afin de dissoudre littéralement les os et de détruire les bactéries pathogènes présentes dans son alimentation (rappelons que le chien est quelque peu charognard à l’état libre) ; la consommation d’une alimentation basifiante (céréales) modifie ce ph et fait courir un double risque au chien : dissolution imparfaite des os + survie de certaines bactéries pathogènes ; l’intestin du chien est court afin une nouvelle fois de limiter le temps d’exposition aux bactéries pathogènes ayant survécu au passage dans l’estomac et sa flore est bien plus spécifique mais moins riche que la nôtre ce qui doit aller de pair avec un transit rapide. Le plus grand « danger » auquel sont exposés les chiens consommant une alimentation trop longue à digérer est la prolifération bactérienne. Inversement une alimentation simple et riche en bons nutriments se digère aisément et rapidement.

Le Barf ne modifie pas l’acidité gastrique. Il ne ralentit pas la digestion et le transit donc limite le risque de prolifération bactérienne dans les intestins car il ne contient que des ingrédients simples à dégrader et à exploiter ; cela se matérialise d’ailleurs par une importante diminution de la quantité de déchets à éliminer (moins de crottes). Il ne demande aucun effort supplémentaire de production d’enzymes au pancréas. Le Barf constitue donc une alimentation préservant l’intégrité de l’appareil digestif.

 

L’hygiène dentaire

Le nettoyage de la dentition et notamment des carnassières est conditionnel à l’emploi de celle-ci dans les conditions initialement prévues ce qui signifie que les molaires à la forme acérée doivent broyer des os pour rester saines. L’hygiène globale de la dentition est également assurée par le grugeage régulier de gros os non consommables ou de leur substitut naturel, les morceaux de bois. Le barf contribue à une parfaite hygiène dentaire à l’inverse des croquettes qui même de forme « étudiée » relèguent les carnassières au rang d’accessoires.

 

dentition-entatree

Dentition entartrée par 4 ans de croquettes

 

Pour parler un peu des risques puisqu’il faut faire une évaluation bénéfices/risques, sachez que les accidents ou pathologies trouvant leur origine dans le régime Barf sont de l’ordre de l’anecdotique. On citera toutefois :

→ risque d’obstruction ou d’occlusion intestinal lors de la consommation d’os trop durs pour être broyés ou d’os littéralement gobés. Ce risque peut être limité en maintenant l’os dans un premier temps et éventuellement en donnant de la carcasse broyée pour les incurables gloutons. On y perd toutefois le bénéfice de l’hygiène dentaire. Evidemment on ne donne pas d’os porteurs de gros animaux en guise d’os charnus. Cela va à l’encontre du bon sens. Et, on ne le redira jamais assez,

pas d’os cuit !

 

→ risque de carences ou à l’inverse d’excès (attention à l’hypervitaminose A causée par un excès de foie) uniquement lorsque les proportions os charnus/viandes/abats et légumes ne sont pas respectées (quoique les légumes ne soient pas du tout obligatoires mais contribuent au confort digestif)

→ risque de prolifération bactérienne lorsque l’alimentation est mixte, c’est à dire lorsqu’on mélange des croquettes (temps de digestion long lié à la présence de glucides) à de la viande (temps de digestion court) induisant un augmentation du temps d’exposition aux bactéries dans les intestins.=> on évite de mélanger des aliments à temps de digestion différents.

→ risque d’intoxication alimentaire par des bactéries pathogènes ; il est légèrement majoré dans les premières semaines au Barf car la flore intestinale, permettant de lutter contre les bactéries exogènes, a besoin de temps pour revenir à la normale. Par ailleurs, il faut se souvenir que l’acidité gastrique d’un chien nourri aux croquettes est beaucoup plus élevée et ne permet donc pas la destruction de toutes les bactéries. => Laissez à la flore intestinale le temps de se normaliser.

→ et pour finir le seul vrai risque qui mérite qu’on le cite et qu’on insiste sur lui, le risque de désordres digestifs temporaires lors de la transition alimentaire et ceci du fait de plusieurs facteurs

◊ la flore intestinale, encore elle, a besoin d’un temps d’adaptation => lors de la transition alimentaire il est plus que conseillé de la soutenir en donnant des probiotiques

◊ le pancréas, le foie étaient jusqu’alors sollicités pour digérer de l’amidon, des protéines et des lipides d’origine végétales pour l’essentiel ; ils doivent se réadapter => lors de la transition alimentaire on conseille une journée de diète avant de commencer le Barf ainsi qu’un bon drainage hépatique. Une séance d’ostéo ne sera pas non plus superflue. Le passage au Barf produit des effets similaires à une cure détox.

◊ la distribution de certaines sources de protéines jusque là absentes ou très minoritaires dans le régime alimentaire peut mettre au jour des intolérances inconnues ou passées inaperçues => lors de la transition alimentaire on introduit une source de protéine à la fois pour déceler toute intolérance qui compromettrait la réussite de la transition. Par exemple, le bœuf est relativement allergène.

 

Comparés aux bénéfices, les risques érigés en épées de Damoclès par les détracteurs sont finalement bien moindres et sont surtout liés à des erreurs humaines. Concernant le risque de désordres digestifs lors de la transition alimentaire un soutien de la flore intestinale (probiotiques) complété par un pansement intestinal à base d’argile permettent de passer au travers ou d’en réduire la durée tandis qu’un anti-nauséeux sous forme homéopathique (Nux Vomica 7ch) permet au besoin d’éviter que l’appétit ne soit affecté.

 

A titre d’exemple représentatif : en près de 15 ans de pratique du Barf avec une vingtaine de chiens et une demi douzaine de chats et en moyenne 5 portées par an sevrées au Barf, nous déplorons au Val de la Petite Creuse :

 

1 occlusion intestinale … aux noyaux de merises

1 croc cassé … à cause d’une balle dure

1 intoxication alimentaire … aux coings blettes

2 chiens sensibles au bœuf (sensibilité s’étant manifestée pas l’apparition de gales auriculaires)

Entrons maintenant dans le vif du sujet car pour bien débuter au Barf il est indispensable de pouvoir compter sur des motivations solides.

 

Trois cas de figure bien différents peuvent vous inciter à faire vos débuts au Barf et à abandonner l’alimentation industrielle. Sachez que vous appartiendrez alors à une minorité grandissante mais pas pour autant plébiscitée.

Préparez vous à vous confronter à des détracteurs parfois virulents !

 

1/ Vous venez de faire l’acquisition d’un chiot ou d’un chien nourri de la sorte

 

C’est le cas de figure le plus simple puisqu’il vous suffit de continuer non sans avoir bien compris pourquoi le Barf et comment le barf.

En effet, à défaut de compréhension de la démarche et de l’intérêt à la poursuivre il est fort probable que le scepticisme voire les mises en garde de tout un tas de conseillers, vétérinaire compris (aussi étonnant que celui puisse paraître compte tenu des vertus sanitaires du Barf) mettent à mal votre choix et installent le doute dans votre esprit.

La meilleure réponse à apporter sera l’excellente santé et vitalité de votre chien, sa croissance harmonieuse, l’absence de soucis gastriques divers (notamment diarrhées, selles volumineuses et nauséabondes, …) mais elle se heurtera au récit d’accidents mettant en cause la consommation d’os (cuits pour l’essentiel donc parfaitement indigestes et dangereux), à la menace de la carence ou de l’insalubrité. Relisez au besoin le paragraphe consacré aux risques du Barf.

 

Le Barf est non seulement sans danger mais surtout il est sain

 

→ à condition bien sûr qu’il n’existe pas un grave dysfonctionnement (le Barf n’est pas un traitement permettant de soigner des insuffisances organiques même s’il contribue à rétablir certaines situations trouvant leur source dans une alimentation inadaptée),
→ à condition que les 3 principes fondamentaux énumérés en introduction soient respectés
→ et que les conditions de vie de votre chien  lui permettent des activités comblant ses besoins comportementaux.

 

Le Barf seul ne compensera pas un mal-être lié à l’environnement ou l’éducation.

 

Dans ce cas de figure, il vous suffira de suivre les conseils de l’éleveur et éventuellement de vous faire accompagner dans cette démarche par des experts de ce régime (groupes de discussion, forums, réseaux sociaux) afin de ne pas donner prise au doute.

 

2/ Vous voulez être sûre de la qualité de l’alimentation de votre chien

 

Dans ce cas de figure, la transition vers le régime Barf peut avoir deux objectifs totalement différents même si la finalité est la même : la santé de votre chien.

 

Objectif 1 : changer d’alimentation pour mieux

 

Bien que votre chien soit apparemment en parfaite santé et se satisfasse de sa nourriture, vous avez vous même opté pour une alimentation la moins industrielle possible, faisant la part belle aux produits frais ; vous avez été sensibilisé par les campagnes des organismes de santé public redonnant à l’alimentation son rôle de prévention des maladies et du coup vous vous interrogez à propos de celle de votre compagnon que vous voulez garder auprès de vous le plus longtemps possible et en meilleure santé possible.

Le Barf est totalement fait pour vous puisqu’il respecte en tous points les besoins nutritionnels, contribue au fonctionnement optimal de l’organisme sans l’agresser, préserve et renforce l’immunité, tout en offrant à votre chien le droit d’être ce qu’il est : un carnivore !

 

Objectif 2 : changer d’alimentation pour moins mauvais

 

Votre chien est apparemment en bonne santé et se satisfait de sa nourriture mais la composition de l’aliment de votre compagnon, loin d’être transparente, vous laisse dubitatif ; vous avez l’impression que les industriels vous cachent des choses ou vous avez tout simplement perdu confiance dans les grandes marques entachées les unes après les autres de scandales.

Le Barf est fait pour vous puisqu’il vous garantit la source de 100% des ingrédients et vous permet de payer à leur juste prix les matières premières.

 

3/ Votre chien présente des soucis d’ordre digestif, cutané … Sur les conseils de Pierre, Paul ou Jacques vous voulez tenter l’expérience du Barf.

 

Attention, le Barf ne vous fait aucune promesse de guérison

 

Le Barf n’est ni un traitement médical, ni miraculeux même s’il a guéri de nombreux chiens souffrant d’intolérances. Un échec du régime Barf (persistance des désordres digestifs ou des problèmes cutanés) ne signifie pas que le Barf est malsain mais que le chien est trop atteint pour pouvoir compter sur ses seules capacités d’auto guérison ou alors que la cause n’est pas alimentaire . Une aide médicamenteuse est alors nécessaire après des recherches approfondies.

Si votre chien est gravement atteint parce qu’il souffre d’une insuffisance, qu’elle soit congénitale ou consécutive à des années de mauvaise alimentation,

 

le Barf contribuera à ce que la situation n’empire pas (en tant que mesure diététique) voire à ce qu’elle se rétablisse légèrement (en supprimant les sources d’agression de l’organisme) ;
→ cela permettra aux médicaments d’être pleinement efficaces
. C’est le cas par exemple lorsqu’une Maladie Inflammatoire Chronique Intestinale (MICI) touche votre chien (voir article sur les diarrhées) ou lorsqu’une Insuffisance Pancréatique Exocrine (IPE) affecte définitivement ses capacités à produire les enzymes digestives.

Le Barf permet de soulager l’appareil digestif défaillant, de supprimer les allergènes mais il ne régénère pas un pancréas, un foie ou des villosités intestinales atrophiées.

Dans certains cas de pathologies chroniques comme la prolifération bactérienne ou certains prurits (démangeaisons violentes se soldant par des grattages et des infections de la peau) prenant leur source dans une allergie ou une intolérance alimentaire, le Barf fera son effet bienfaisant très rapidement mettant en évidence qu’il est bien plus sain que l’alimentation industrielle et accessoirement bien moins couteux que des croquettes hypo allergéniques pour lesquelles on peut se demander où s’arrêtera l’inventivité des fabricants pour faire digérer les céréales et les protéines végétales.

Enfin, pour certaines pathologies digestives aigues, le Barf seul peut s’avérer suffisant et ramener de l’ordre dans la digestion juste parce qu’il n’épuise pas et n’agresse pas l’organisme.  Evidemment, si un changement d’alimentation a solutionné le problème, un retour aux anciennes habitudes (croquettes) le fera réapparaître. Il faudra en prendre conscience. Certains chiens sont des « bénédictions » sur ce plan là, ils ne s’adaptent pas à l’inadapté et nous obligent à remettre les choses en question !

 

En conclusion et quelques soient les circonstances qui vous ont amené à débuter au barf, vous ne mènerez à bien cette formidable expérience que si la santé de votre compagnon est au coeur de vos préoccupations et que vous n’acceptez pas/plus que son alimentation la mette en danger.

 

L’alimentation industrielle est, quoiqu’elle affirme, une piètre alternative à l’alimentation naturelle ayant été inventée, non pas pour garantir une meilleure santé aux chiens (leur longévité diminuante et les affections qui les touchent désormais en sont une preuve), mais initialement pour faciliter la tâche des propriétaires. Beaucoup sont accro à cette facilité et il est fort probable que nombre d’entre eux se priverait d’un compagnon s’il devait revenir à l’époque où les croquettes n’existaient pas.

C’est là dessus que les industriels ont construit leur lobby.

Vous ne poursuivrez cette alimentation contre « vents et marrées » que si vous êtes armé en termes d’arguments et parfaitement clairvoyants sur les intérêts des détracteurs du Barf. Au fil des discussions à propos d’alimentation, vous vous rendrez compte que de nombreuses personnes sans aucune connaissance en nutrition tenteront de vous culpabiliser, vous attaquerons même sur votre bienveillance à l’égard de votre chien (vous voulez le tuer ou quoi ?) ; la plupart de vos interlocuteurs sera totalement étanche à vos explications surtout si elles les déstabilisent (pourquoi autant de blé, de maïs dans des croquettes pour un carnivore ?) et préfèrera rester dans le confort de pensée qu’offre les Petfooders et leur principal relais les vétérinaires.

Ce sont les effets que produisent un marketing rondement mené depuis des décennies sur l’esprit critique.

Ne perdez jamais de vue que l’alimentation industrielle des chiens et chats est désormais un marché économique ; c’est à l’heure actuelle un moyen particulièrement lucratif de recycler les parties impropres à la consommation humaine issues de l’élevage d’animaux de rente (cf Prodia) qui permet également de recycler les déchets de l’industrie agro alimentaire. Ces résidus ne deviennent consommables qu’après traitement par cuisson, savants mélanges et ajouts d’arômes aux glucides servant de colle et de sources de protéines.

En d’autres termes nos animaux domestiques sont considérés comme ce qui se fait de mieux et de plus rentable comme … poubelle.

 

valorisation-co-produits-animaux

 

Quelque soit le mode de fabrication, la qualité de certains ingrédients phares, les petits plus ou les petites moins mis en avant, cette alimentation sera toujours une pâle copie de son modèle l’alimentation naturelle cherchant à la faire oublier, voire à la discréditer.

Les intérêts économiques sont tels désormais que les fabricants usent et abusent de toutes les failles du système notamment en termes d’étiquetage afin de dissimuler autant que possible les quantités et les origines de certaines matières premières que personne n’oserait donner à manger à son chien en l’état.

A l’inverse, et c’est un comble, ils surfent tous sur les bénéfices sur la santé d’une bonne alimentation.

 

Prenez les donc au mot, prenez vraiment soin de la santé de votre compagnon … passez au Barf !

1 Commentaire

  1. Cédric

    Merci pour toutes ces précieuses infos

    Réponse

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